S'érum

Dans les profondeurs du marécage de zangar, existe un peuple d’homme-serpent, appelé les nagajis. Les nagajis sont une race d’humanoïdes ophidiens à la peau écailleuse imitant l’apparence spectaculaire des véritables nagas. Comme les serpents, ils ont la langue fourchue et des yeux sans paupière qui leur donnent un regard imperturbable que la plupart des autres races trouvent perturbant. En outre, leur forme physique est proche de celle des humains et donne lieu à de suspicieuses spéculations quant à leurs origines. La plupart croient que les vrais nagas les créèrent pour en faire une race de serviteurs, au moyen de croisements, de magie, ou des deux. Et, en effet, les nagajis vénèrent les nagas comme des dieux vivants. Les nagajis inspirent la peur et l’admiration aux autres humanoïdes, tant à cause de leurs origines mystérieuses que de leur talent à l’épée et en sorcellerie.
Vivant en tribu d’une dizaine de famille, certaines tribus se sont vu oublier l’existence des anciens nagas, et se sont tournées vers d’autres dieux, bien que peu nombreuses ses tribus ne sont pas à laisser en reste, l’une d’elle entre elles appelée les « serpents de bronze ». Leur tribu vénère un ancien dragon sire de bronze appelé Nosdrasia.

Après la chute des nagas la dragonne était venue aidée la tribu des « serpents avisés ». Ces derniers étaient désespérés et perdus et étaient prêtent à croire en celui qui les guideraient. La dragonne comprenant, il ne fut pas difficile de leur faire entrer dans son girond. Même si elle ressemblait à une arrivistte Nosdrasia aimait profondément ses nagajis, c’est pour quoi elle leur fit un cadeau une nuit elle ordonna que les premiers mâles vierge de chaque famille et les plus vigoureux de ceux la lui soit présenté. Parmi eux, trois furent choisit car la dragonne voyait en eux un potentiel.
Elle prit la forme d’une nagaji aux écailles de bronze et elle s’accoupla  avec les trois élus  qui furent par la suite appelé les amants de bronze. Plusieurs mois plus tard naquit des nagajis investit d’un pouvoir draconique. Ces enfants étaient vénérés comme des élus, et jouissaient d’un certain pouvoir au sein de leur tribu rebaptisée en serpents de bronze.  Puis un jour Nosdrasia Disparu laissant les nagaji seul mais ces derniers ne paniquèrent pas  et ne virent pas cela comme un abandon, mais plutôt comme un défi celui de retrouver celle qui avait tant fait pour eux.

Des générations se succédèrent Mais les serpents de bronze ne renoncèrent jamais à leur quête, si bien que ceux qui développait les dons draconique léguer par les enfants de Nosdrasia, partir généralement en quête. Seulement au fil des générations les manifestations du sang draconique se faisait de plus en plus rare.

Parmis les couvée de la génération actuelle, seulement trois développèrent des dons. S’alfai, S’alsifi et S’érum, si les deux premier se complaisait dans la oisiveté de leur rang, Sérum lui rêvait d’aventure et, selon lui, la quête était le meilleur moyen d’y partir. Le sang draconique lui avait tissé un lien étroit avec la magie, même s’il ne comprenait  toujours la nature de ses pouvoirs, il état capable de lancer des sort qui pour un adepte lui aurait pris des jours ou des années d’entrainement.

Ayant atteint l’âge adulte il parti des on marécage et s’aventura dans les plaines qui bordait la partie nord du marécage. Le monde extérieur fut rapidement présenté comme un monde dangereux,  S’érum l’apprenant à ses dépends heureusement ses pouvoirs lui permirent de triomphait envers un nombre conséquent de brigand et créature faiblarde pour les autres plus puissante une retraite rapide s’en suivait.  Pendant deux ans il découvrit le monde et fit des rencontres en bien et en mal. Même si au début, il était parti avec une excuse, sans sens des traditions le rattrapa, il décida de s’atteler à cette tache, entre ses recherche sur les dragons de bronze et les petites aventures qu’il exécutait sur le côté financer son voyage il apprit maitriser son héritage draconique et développa  sa magie, ainsi que son expérience du combat.

Il entendit parler de l’existence d’un livre ancien contenant le nom des dragons et leurs légendes, il se dit que cela devrait peut être constitué un début de piste. Le temple, où était garder le livre, n’était plus qu’un bâtiment en ruine oublier dans les profondeurs d’une forêt, il découvrit non seulement que les lieux avait été saccager mais aussi que les hauteurs était toujours là. En effet une tribu de gobelin avait investit les lieux, il parvint à entrer profitant d’un moment ou les gobelins se reposèrent  et prenant les chemin les moins fréquenté. Il arriva enfin dans la salle où le livre était gardé, mais une terrible vérité s’opposa à lui, le livre avait été détruit, bruler dans les flammes. Les gobelins avaient été incapables de comprendre les écrits et avaient décidé de le bruler. Plongeant ses mains dans les cendres il prit une poignée et la ramenant vers sa poitrine, à se moment son cœur fut tordu par une rage incroyable, et laissa échapper un long cri de colère, les gobelin furent automatiquement rameuter par le cri, et commencèrent à attaqué le nagaji.

Le permier gobelin sauta vers le nagaji pour lui porter un coup mais fut déchiqueter par un coup de griffe de S’érum. Se dernier laissa son sang draconique répondre  à un tel acte. Il déchaina ses pouvoirs sans aucune modération sur les gobelins, certes ses derniers avaient l’avantage du nombre, proche de la cinquantaine. Mais l’expérience amassée pour le nagaji et sa rage actuelle, le rendait trop fort pour les gobelins.
La bataille dura pratiquement  une heure, à la fin un dernier paquet d’une dizaine de gobelins se trouvait là avec un chef gobelin à leur côté ne sachant pas s’ils devaient attaquer ou se défendre. Le chef gobelin s’avança et décida de défier S’érum.

S’érum était las, il avait pratiquement épuisé ses ressources ne lui restant assez de force que pour lancé des sort mineurs, ses écailles d’un vers foncé et reluisant dégoulinait du sang des gobelins lui donnant une apparence relativement effrayante. Il se savait au pied du mur. Il eu l’idée de lancé un sort de lumière sur un bâton qu’il venait de ramasser et essaya d’aveugler les gobelins. Il profita de cet instant pour créer une boule d’acide et l’enfonça dans la bouche du chef celui-ci tomba dans un puissant râle d’agonie, les autres gobelins retrouvant la vue, s’enfuir dés que leur cerveau comprirent que le chef était mort. Le nagaji s’effondra et perdit connaissance.

Il se réveillât enfin dans une chambre, paniqué et surpris de prime abord. Il se levat en sursaut la se trouvait une humaine, celle-ci s’exclama : « il est réveillé, vite l’archimage ». et sortit en courant de la pièce. Arriva l’archimage Tomsadoung ce dernier remercia S’érum d’avoir tué les gobelins il expliquat que lui et ses mages l’avaient trouvé évanouit parmi les gobelins et grâce à lui ils avaient put récupérer de nombreux artéfacts dissimuler dans le temple. S’érum remercia l’archimage, et lui demanda où il se trouvait.

La guilde des mages de Korvosa, un endroit ou tous les adeptes de la magie profane se réunissaient, contenant un nombre incroyable de connaissance. Il ne fallut pas longtemps pour que S’érum demande l’autorisation de feuilleté les ouvrages présents, il ne rechercha pendant des jours après une information sur Nosdrasia, malheureusement il ne découvrit rien, après qu’il soit totalement guérit S’érum se prépara à repartir de plus belle, mais Tomsadoung lui demanda de rester, il voulait l’étudier, lui un détenteur du sang draconique, S’érum accepta en guise de remerciement de l’avoir sauvé et de l’avoir laissé cherché ce qu’il désirait.

Cette pause dans son périple lui fut bénéfique les mages lui appris canaliser la magie dans ses griffes afin de renforcé ses attaques. Un jours il s’aventura dans la ville Korvosa  et la visita, s’émerveillant devant les bâtiments et se laissant allez aux grès de ses instincts…